Lundi au Vendredi 8:00 a 13:00h

Huerta San Lázaro (Huerta del Sordo)

Le Verger de San Lázaro plus communément connue sous le nom de Verger del Sordo est un symbole important de la bataille de 1808, où les deux armées se rencontrent pendant la bataille de Bailén de 1808. Déclarée bien d’intérêt culturel dans la catégorie de « site historique », il y a à l’intérieur la vieille noria qui a servi de ligne de démarcation entre les armées française et espagnole pendant la bataille.

Ce jour historique jouera un rôle important, car la chaleur associée à la pénurie d’eau sera pour les troupes françaises un facteur clé dans la défaite de l’armée gauloise qui, dans les derniers moments de l’affrontement désespéraient d’atteindre l’endroit désiré où ils pourraient étancher l’insupportable soif. La tradition populaire nous dit que beaucoup de ces soldats se ruèrent vers la Noria du Verger de San Lázaro, le seul endroit proche où trouver de l’eau, en déclarant « mourir ici et ressusciter à Paris ».

COURTE SÉQUENCE DE LA BATAILLE DE BAILÉN

  • Mardi 19 juillet 1808, Dupont part d’Andújar ignorant de la situation compliquée à laquelle il fera face à Bailén, où deux divisions complètes sous le commandement de Reding et de Coupigny ont prévu de bloquer les troupes napoléoniennes selon les directives du Plan de Porcuna élaboré par l’état-major de Castaños.

  • 5:00 heures : L’avant-garde française traverse le pont du Rumblar pour alerter les divisions de Reding de prendre une position défensive à l’extérieur de Bailén. Après une attaque initiale infructueuse, Dupont lancera une série d’offensives de crainte que les troupes de Castaños arrivent par l’arrière.

  • 7:00 heures : Une deuxième attaque a lieu et se termine par le retrait des troupes françaises en raison de la supériorité de l’artillerie espagnole.

  • 9:00 heures : Une troisième offensive met l’armée espagnole dans une situation délicate qui vient à craindre pour son flanc gauche. La supériorité des batteries centrales résoudra à nouveau cette situation critique. Submergée par la soif et la chaleur, l’armée française exécute une attaque finale qui se traduit par des efforts futiles. Enfin, Dupont décide de ne plus attaquer et de se rendre à l’armée espagnole.